OPÉRATION CORREA 1re partie : Les ânes ont soif
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Paul RigousteParticipant
Juste pour signaler que la première partie de ce documentaire est regardable en ligne ici : http://www.cp-productions.fr/spip.php?article161
Personnellement je l’ai trouvé très chouette. A la fois simple, intéressant et drôle. Je trouve que ça a le double intérêt de (1) présenter (un peu rapidement c’est sûr, mais quand même) la politique menée par ce nouveau gouvernement équatorien, et (2) de se rendre (encore une fois) compte du rôle politique joué par nos médias européens.
Je trouve assez génial le lien entre les politiques de Correa en ce qui concerne les médias de son pays et les discours des journalistes européens qui lui reprochent d’exercer une censure ou de nuire à la « liberté d’expression ».
(Et pour celleux qui ont aimé et qui ont de l’argent, il est possible de faire des dons sur le site pour financer la suite de l’enquête en Equateur)
PS : Le lien vers l’article du monde diplo dont il est question dans le film : http://www.monde-diplomatique.fr/2013/12/CORREA/49902, et le lien vers la vidéo de la conférence qu’a faite Correa quand il est venu en France : http://epresence.univ-paris3.fr/1/watch/298.aspx
Et si jamais quelqu’un-e tombe sur d’autres films ou articles qui expliquent (simplement) des trucs sur ce nouveau gouvernement équatorien et les mesures qu’illes prennent, ça m’intéresse.
megInvitéCool je fais tourné sur seenthis et puis je regarde et reviens en parler ici.
Merci pour le lien.LiamMaître des cléstrès intéressant en effet!
vivement la suite.
apres j’aurais bien aimé plus d’infos détaillées et référencées sur les mesures du gouvernement Equatorien pour me donner plus une idée objective du truc. Même si ce n’est pas l’objet premier du documentaire.
Le journaliste du Figaro était intéressant, surtout les raisons données sur pourquoi c’était importants que les lecteurs-trices du Figaro sachent ce qui se passe en Equateur (pour pouvoir y investir). Ca me rappelait un truc que disait Chomsky sur le Wall Street Journal, qu’on pouvait souvent y trouver du très bon journalisme, clair, concis et objectif, surtout sur les pays étranger. Et il disait que c’était logique, parce-que les rédacteurs-trices savent que les lecteurs-trices du Wall Street Journal
ne sont pas potentiellement des révolutionnaires, mais ont besoin de connaitre les situations économiques et politiques des autres pays (mais pas que) pour savoir si ou quand il faut investir (ou pas).
En gros, pas besoin de faire de la désinformation, parce que de toute façon il n’y a pas de doute sur les penchants politiques des lecteurs-trices, alors que The Boston Globe par exemple en fera beaucoup plus parce que c’est un journal « libéral » (dans le sens anglophone du terme) et donc avec un lectorat potentiellement subversif et critique par rapport aux systèmes d’oppressions qui existent (notamment militaires et économiques).
Chomsky disait qu’il lisait souvent the Wall Street Journal pour avoir des « vraies infos » mais plutôt The Boston Globe pour se tenir au courant de la désinformation, et ça me semblait un peu similaire ici. -
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