Films, séries et autres Anti-colonialistes/Anti-racistes

Accueil Forums Le coin pop-corn Films Films, séries et autres Anti-colonialistes/Anti-racistes

  • Ce sujet contient 39 réponses, 2 ps. et a été mis à jour pour la dernière fois par Arroway, le Il y a 7 années, 2 mois.
Affichage de 15 messages - 16 par 30 (sur 40 au total)
  • Auteur/e
    Posts
  • #31836 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    Et il y a une femme journaliste douée qui suit le méme parcourt d’honnète frondeuse punie injustement par la hierarchie que Lester et McNulty.
    Kima fait de mème en saison 5 (sans la sanction associée) en dénoncant les infraction de deux personnages principaux assez symbolique ici.

    #31837 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    Dsl pour le spam, je relisais le wiki pour comprendre votre insecurité face à Lester et le sexisme dénoncé par Paul.

    Le masculanisme du milieu mafieux est dénoncé par le traitement de la traite des femmes et des meurtres d’honneur (première affaire), par le rapport de Marlo à sa « copine », par l’éducation et l’évolution de Namond (seul à « s’en sortir et seul « gansta bourgeois »), par les alliés gansta femmes non androgyne d’Omar (lui meme plaie du milieu car mis à l’écart par sa sexualité) qui exploitent les clichés de la femme faible ou offerte pour faire leurs casses, par le fait que Stringer trouve sa fin après avoir ignoré les conseils de sa soeur…

    Les milieux masculins exclusifs usent de blagues sexistes systématiquement dans chacun des milieux qui sont démenties plus tard par un perso féminin (voir un groupe de fille organisé à l’école) tous aussi systématiquement.

    #32196 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    Bamako est un film franco-américano-malien d’Abderrahmane Sissoko sorti en 2006.

    En complément d’information genre fusion des luttes:

    http://www.franceculture.fr/emission-terre-a-terre-extractivisme-et-dette-2015-05-02

    #32301 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    Big Men est un fim amricain de Rachel Boyton

    La pompe Afrique est la mise en scene des minutes du proces de Loïk Le Floch-Prigent, Alfred Sirven, André Tarallo dans « l’affaire Elf » mis en scène par le Français Nicolas Lambert.
    Le racisme n’est surtout visible que dans les vocables « affaire africaines » et « gabonisation » mais le spectacle est une grosse claque et parle bien de colonisation.

    #32309 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    « Les statues meurent aussi » est un documentaire-court métrage français réalisé par Chris Marker et Alain Resnais sorti en 1953.
    Il fut commandité par la revue « Présence Africaine », partant de la question « Pourquoi l’art nègre se trouve-t-il au musée de l’Homme alors que l’art grec ou égyptien se trouve au Louvre ? »

    Le film confond l’ensemble des productions africaines de toutes époques et toutes cultures sous le vocable « art nègre ». N’ayant aucune connaissance en anthropologie ni mis les pieds en Afrique je ne peut juger de la pertinance de son analyse artistique (le « Van Gogh » du meme Resnais est criticable à mon sens par exemple).
    Pourtant le discourt politique est stimulant et ne doit pas etre jugé avant le dernier tiers de film.

    Le film a été censuré 8 ans par les autorites francaises.

    « Quant à eux, ils savaient tout ce qui se passait en Afrique et nous étions même très gentils de ne pas avoir évoqué les villages brûlés, les choses comme ça ; ils étaient tout à fait d’accord avec le sens du film, seulement (c’est là où ça devient intéressant), ces choses-là, on pouvait les dire dans une revue ou un quotidien, mais au cinéma, bien que les faits soient exacts, on n’avait pas le droit de le faire. Ils appelaient ça du « viol de foule ». L’interdiction eut des conséquences très graves pour le producteur. Quant à nous – est-ce un hasard ? – ni Chris Marker ni moi ne reçûmes de propositions de travail pendant trois ans. »

    Alain Resnais, sur son entretien avec deux des représentants de la commission de censure.

    Chris Marker et Alain Resnais ont réalisé deux des filmographies des plus infuentes ( respectivement reals des films « La Jetée » et « L’Année dernière à Marienbad » par exemple) et des plus recommendables.
    Ils ont aussi collaboré sur le film collectif « Loin du Vietnam » en 1967 avec entre autres Joris Ivens, William Klein, Claude Lelouch, Agnes Var, Jean Luc Godard…

    Manifeste contre la guerre du Vietnam, le film bien que forcement irrégulier est un des plus marquants que j’ai vu depuis longtemps et garde une actualité confondante.
    Il ouvre aussi une tribune de cinq minutes a Fidel Castro (ce qui peut etre concideré comme choquant par certain(e)s alors je précise).

    #32349 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    Camp de Thiaroye est un film sénégalais d’Ousmane Sembène et Thierno Faty Sow tourné en 1988.

    Le massacre de Thiaroye ou Tiaroye1 (prononcer tiaroïe), ou mutinerie de Thiaroye, s’est déroulé dans un camp militaire de la périphérie de Dakar au Sénégal le 1er décembre 1944 quand des gendarmes français renforcés de troupes coloniales ont tiré sur des tirailleurs sénégalais, anciens prisonniers de guerre récemment rapatriés, qui manifestaient pour le paiement de leurs indemnités et pécule promis depuis des mois. ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Thiaroye )

    Ousmane Sembène (né le 1er janvier 1923 à Ziguinchor, Sénégal, mort le 9 juin 2007 à Dakar, Sénégal), est un écrivain, réalisateur, acteur et scénariste majeur de l’Afrique contemporaine, connu pour ses partis pris militants sur les questions politiques et sociales. ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Ousmane_Semb%C3%A8ne )

    « The Los Angeles Times considered him one of the greatest authors of Africa and has often been called the « father of African film ». » d’aprè le wikipedia anglanphone.
    Ca filmographie est très recommendable.

    #32364 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    Trouvé sur http://visionscarto.net/vol-de-terres-en-ethiopie (grace à une mise en lien sur http://rezo.net/)

    Alexis Marant, Planète à vendre, Arte France et CAPA Presse – 2010.
    En 2009, 50 millions d’hectares de terres arables ont changé de main dans le monde et des dizaines de millions d’autres sont sur le point d’être cédés. Avec la croissance programmée de la population mondiale (9,2 milliards en 2050) et la raréfaction de certaines ressources naturelles, la demande pour les produits agricoles va augmenter en flèche. À partir de 2008, la flambée des prix alimentaires et les révoltes qu’elle a provoquées un peu partout dans les pays pauvres, conjuguée à la crise financière, ont accéléré le phénomène. Désormais, les gouvernements qui dépendent majoritairement des importations pour nourrir leur population, ceux qui craignent pour leur autosuffisance alimentaire, mais aussi les multinationales de l’agroalimentaire et les investisseurs internationaux (banques et fonds de pension) se ruent sur les terres cultivables partout où elles sont à vendre. Et la nécessité nourrit la spéculation. Ainsi, une nation comme l’Éthiopie, qui recourt à l’aide internationale pour nourrir sa population, n’hésite pas à brader ses terres

    #32605 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    Il y a une liste de film sur l’Apartheid ici:
    https://en.wikipedia.org/wiki/Apartheid_in_popular_culture

    A mon avis subjectif personnel à moi en voici deux que je concidère comme marquant et disons moins academique:

    District 9 est un film de science-fiction américano-sud-africain de Neill Blomkamp sorti en 2009.
    A noter que le film a été censuré au Nigéria pour racisme (les bandits sont des antropophages mafieux nigérians).

    Zulu est un film policier franco-sud-africain écrit et réalisé par Jérôme Salle, sorti en 2013.
    C’est un mauvais film dont l’antiracisme declaré s’empètre dans un symbolisme flirtant regulièrement avec le contradictoire. En evitant de « trop » politiser le sujet, le film sombre dans une caractérisation grandiloquente des personnages ridicule voir assez drole si vous avez du second degrè.
    Le film évoque en effet le projet Coast (https://en.wikipedia.org/wiki/Project_Coast) un projet de propagande et de contre révolution par la guerre ethnique au moyen d’armes chimiques qui met en lumière les logiques internes de la pensée raciste mais aussi des ambitions de certaines branches des services secrets d’autres pays occidentaux.
    Un exemple éclatant du traitement des problèmes politiques par une caricature psychanalysante dans un film hollywoodien qui fait passé l’Arme Fatale 2 (sympathique à revoir par ailleur) pour un brulot poltique.
    Le projet Coast est aussi abordé dans « World War Z » de Max Brooke ce qui promet d’autres sourires crispés quand on voit le traitement politique de l’appartheid israelien dans le premier volet de son adaptation cinématographique.

    #32640 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    « The opium war » (Yāpiàn Zhànzhēng) est un film chinois de 1997 de Xie Jin.

    La serie « Once Upon a Time in China » est une bonne excuse pour voir un film autour du sujet de la colonisation europeenne de la Chine, tout en appreciant de tres bonnes comedies kun fu.

    http://www.franceculture.fr/emission-concordance-des-temps-le-peril-jaune-une-angoisse-depassee-2015-05-23

    http://www.article11.info/?Arnaud-Aubron-Dans-l-Hexagone-tout

    « La France a longtemps été l’un des pays les plus anti-prohibitionnistes du monde. Elle a ainsi participé, à partir de 1856, à la deuxième Guerre de l’Opium : il s’agissait notamment de contraindre la Chine à s’ouvrir au commerce de l’opium. Avec pour résultat la plus grande vague de toxicomanie de tous les temps – la Chine comptait plus de 13 millions d’opiomanes en 1900.

    La France a ensuite, via ses colonies, largement pris part au trafic de drogues mondial. En Indochine, elle a mis en place un monopole, la Régie de l’Opium, avec des justifications morales très douteuses : alors même que la consommation de l’opium était interdite en métropole depuis 1845, on en organisait le commerce dans les colonies… Une histoire d’argent, évidemment : en 1916, 25 % des rentrées fiscales de l’Indochine française provenaient de l’opium. La Régie de l’Opium ne fermera finalement qu’en 1946. Même chose au Maroc, avec la Régie du Kif11 ; sur place, c’est la banque Paribas qui gérait le commerce du cannabis, jusqu’en 1954.

    Via ces monopoles, la France s’est ainsi impliquée à visage découvert. Mais quand la pression prohibitionniste internationale est devenue trop forte, les Français sont passés à la phase clandestine. Il faut ici citer l’action, lors de la Guerre d’Indochine, du colonel Trinquier12. Cet homme fut l’un des acteurs clés de « l’opération X », mise en place par l’armée française pour financer les maquis Hmong au Laos. Enrôlés comme supplétifs à l’armée française, ces mercenaires étaient payés grâce aux profits du trafic d’opium.
    Les réseaux des Français seront d’ailleurs repris plus tard par les Américains, lors de la Guerre du Vietnam. L’homme-lige des Français était Touby Lifoung ; c’est son lieutenant – Vang Pao – qui sera celui des Américains dix ans plus tard. Les réseaux ne changeront pas, de même que l’accord de base (l’armée rapatrie l’opium des montagnes jusqu’aux centres de consommation) et ses motivations : financer des opérations de guérilla qui ne pouvaient l’être officiellement par les militaires. »

    #32691 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    La Condition de l’homme (人間の條件, Ningen no jōken?) est une trilogie de films réalisés par Masaki Kobayashi, sorti entre 1959 et 1961. C’est l’adaptation d’un roman de Jumpei Gomikawa 五味川純平 (1916–1995).
    La trilogie ne forme qu’un film qui suit le destin et le parcourt moral d’un japonnais depuis la supervision des camps de travails de chinois à la debacle des japonnais face aux russes pendant la colonisation de la Chine par l’Empire Japonnais.
    C’est (très) long, mais c’est (très) bein.
    Je suis sincerement surpris de trouver un tel brulot par un japonnais sur la periode, et qui rende justice aux souffrance chinoises, meme si on sent une nette influence de la filmographie de l’URSS.

    Le Soldat dieu (キャタピラー, Kyatapirā) est un film japonais réalisé par Kōji Wakamatsu, sorti en 2010.
    Ours d’Argent à Venise pour l’actrice Shinobu Terajima.

    Beaucoup moins dans le theme anti raciste et anti colonialiste, le seul film (non de guerre) japonnais que je voyait sur la colonisation japonnaise avant « The Human Condition ».
    Le film est pacifique et anti autoritaire, il est un croisement entre « Johnny got his gun », un film erotique et un brulot feministe, tres (tres) surprenant.

    #33075 Répondre
    joffrey pluscourt
    Invité

    « City of Life and Death » est un film chinois de 2009 de Lu Chuan.
    Le film decrit les represailles de l’armee imperiale japonnaise contre les militaires et civils chinois apres la bataille de Nanjing.
    Je concidere le film comme un chef d’oeuvre.
    C’est aussi un film extremement dur. J’ai litteralement pris une semaine de pause apres la première heure de film avant de le finir.
    Un collegue militant, etudiant en histoire (qui ne faisait pas sa these sur ce sujet), m’a soutenu que la deuxième guerre sino japonnaise à ete le theatre des represailles sur les civiles les plus intenses de l’histoire en terme de morts et de viols. Il jugait que c’était incomprehensible sans l’etude de la correspondance officielle et privee des soldats et officiers japonnais qui revelle un racialisme absolu de l’ideologie imperiale et une volonte d’etre à la « hauteur » de la colonisation occidentale.

    « Tonnerres lointains » (Ashani Sanket) est un film indien réalisé par Satyajit Ray, sorti en 1973. Lion d’or à Berlin.
    (Satyajit Ray est un cineaste important, d’un grand humanisme et d’une grande subtilité, qui a placé l’Inde sur la carte des festivals internationnaux et qui est le seul realisateur a avoir recu le « Bharat Ratna » (« Joyau de l’Inde ») du gouvernement indien.)
    En 1943, l’invasion japonnaise de la Birmanie destabilise la societe bengalie. Le film decrit l’arrivee de la famine sur la region et ses consequences selon les castes, les classes sociales et le genre des individus.
    Cette famine à causé trois millions de morts.
    Meme si l’invasion Birmane par le Japon tient plus de l’operation de guerre que d’un projet colonialiste « classique » le film decrit les famines et le délitement des sociétés qui expliquent la majorité des morts causées par une invasion militaire et l’accaparement des ressources par une puissance dominante nouvelle, jusque dans les regions voisines.

    J’ai cherché un film decrivant les consequences d’une invasion chinoise communiste ou d’une represion sur une minorite du pays. Le gouvernement chinois etant très au fait de la portee politique que peut avoir un film, je n’en est pas trouvé (encore?).

    Il existe quelques films occidentaux et de nombreux documentaires sur la colonisation tibetaine. Beaucoup sombrent dans l’exotisme, l’essentialisation du Tibet par le Bouddhisme Tibetin et succombent au charisme du Dalai Lama (qui m’est tres tres sympathique par ailleurs) et à son hagiographie.

    Sans avoir encore vu l’integralité des documentaires du net sur le sujet je retiendrais celui ci:

    « Ce qu’il reste de nous » est un film documentaire québécois sur les réactions de Tibétains à un message filmé du 14e Dalaï Lama qui n’a pu revenir au Tibet depuis 1959.
    Ce documentaire produit sur une période de tournage de huit ans entre 1996 et 2004, a été réalisé secrètement, à l’insu des autorités chinoises, à l’aide de petites caméras numériques.
    Si pour le coup il s’agit de reduire le traitement de la colonsation du Tibet à l’angle presque exclusif des discours du leader du clergé boudhiste tibétain, c’est un des rares documentaires que j’ai vu à laisser aussi directement la parole au tibetains eux mème.

    Pour ceux qui chercheraient des films sur les violences des totalitarismes se pretendant « communistes » en Asie, meme si j’estime que cela recoupe des dynamiques un peu distinctes du racisme et du colonialisme, le travail de Rithy PANH sur le Cambodge et l’episode Khmere Rouge est à voir absolument.
    (notament « S21, la machine de mort Khmère rouge », « Duch, le Maître des forges de l’enfer » mais aussi le tres beau « Le papier ne peut pas envelopper la braise » sur la prostitution)
    Rithy PANH a réaliser en vingt cinq ans une filmographie passionante, sous cotée, à la hauteur d’un Claude Lanzeman sur un sujet tout aussi tragique et édifiant que la Shoah, mais avec des films peut etre plus accessibles et à mon sens plus ouverts à l’espoir et la reapropriation d’une histoire (monstrueusemement) traumatique.
    Il met aussi parfois en lumière des rapports insoupconnés avec la culture francaise de ce regime genocidaire, financé et armé par la Chine communiste, mais dont de nombreux leaders ont étés formés à la Sorbonne comme beaucoup d’autres communistes et intellectuels cambodgiens de l’époque.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Rithy_Panh

    #33779 Répondre
    Meg
    Invité

    The Book of Negroes est une mini-série canadienne réalisée par Clement Virgo (en) et diffusée sur CBC du 7 janvier 2015 au 11 février 2015.
    Elle est adaptée du roman du même nom écrit par Lawrence Hill en 2007, lui-même inspiré par le document historique Book of Negroes rédigé en 1783

    Affiche de la série

    En 1750, Aminata Diallo, 11 ans, est enlevée de son village en Afrique de l’Ouest par des négriers, et vendue dans une plantation de Caroline du Sud. Elle tomba amoureuse et épouse un autre esclave nommé Chekura, mais leur enfant est enlevé et vendu par son maître jaloux, Robinson Appleby, Aminata fait le vœu de retourner un jour dans son village natal.

    source : Wikipédia

    #37103 Répondre
    Meg
    Invité

    Bienvenu à Marly-Gaumont

    En 1975, Seyolo Zantoko, médecin fraichement diplômé originaire de Kinshasa, saisit l’opportunité d’un poste de médecin de campagne dans un petit village français.
    Arrivés à Marly-Gomont, Seyolo et sa famille déchantent. Les habitants ont peur, ils n’ont jamais vu de noirs de leur vie. Mais Seyolo est bien décidé à réussir son pari et va tout mettre en œuvre pour gagner la confiance des villageois…

    #37108 Répondre
    Arroway
    Invité

    Pour The Book of Negroes, il y avait eu un petit thread sur le sujet: http://www.lecinemaestpolitique.fr/forums/topic/the-book-of-negroes/

    Pour Bienvenu à Marly-Gaumont, j’ai été très déçu-e par ce film. C’est clairement un discours du type « ils sont racistes parce qu’iels ne nous connaissent pas », « en travaillant dur on se fera accepter », « il faut un peu de temps avant de s’intégrer »…

    #37117 Répondre
    Meg
    Invité

    Pour Bienvenu a Marly-Gaumont je suis d’accord pour ce que tu dit. Lè mot racisme n’est d’ailleur prononcé qu’une seul fois, par une tante qui demande « Mais ils sont racistes ou quoi?  » et la reponse est « Je sais pas.. ».
    Je pense que la reponse est  » Bien sur que oui illes sont racistes, mais je peu pas lè dire parceque j’ai besoin de producteur ou productrice et de publique dans ce pays où les noir.e.s ne sont pas les bienvenu.e.s »

Affichage de 15 messages - 16 par 30 (sur 40 au total)
Répondre à: Films, séries et autres Anti-colonialistes/Anti-racistes
Vos informations:




Commentaires clos